Page 5 à 15 : Aurélie Foglia et Pierre Loubier - Présentation. « Des attitudes élégiaques » | Page 16 à 25 : Nicholas Dion - Généalogie de l’élégiaque chez Treneuil et Millevoye | Page 26 à 37 : Anne Debrosse - À l’ombre des poétesses grecques : rêveries romantiques sur les origines de l’élégie, d’André Chénier à Amable Tastu | Page 38 à 48 : Fabienne Bercegol - Le romanesque élégiaque : Chateaubriand, Claire de Duras, Lamartine | Page 49 à 66 : Sarah Hassid - L’invention du paysage élégiaque autour de 1800 | Page 67 à 80 : Sylvain Ledda - Il vient un jour où le cœur se reploie. Empreintes élégiaques dans le théâtre romantique | Page 81 à 93 : Paule Petitier - La plainte dans l’histoire romantique. Puissances de l’élégiaque | Page 94 à 104 : Yohann Ringuedé - « Je rugirai. » Formes et enjeux de la déploration politique dans la poésie romantique | Page 105 à 117 : Antoine Piantoni - « La discrète élégie aux fuyantes pâleurs » : l’autre lignée des élégiaques fin-de-siècle | Page 118 : Bibliographie sélective | Page 119 à 128 : Flavien Bertran de Balanda - Nains et girafes. Les résistances à la censure sous la Restauration ou le renouveau d’une parole polémique (1820-1821, 1827) | Page 129 à 137 : Marc Vervel - Catherine Blum (1854) de Dumas : le mystère criminel, entre quête du sens et rêve du passé perdu | Page 138 à 148 : Vincent Vivès - La mélodie française, ou l’élégie critique | Page 155 à 175 : Jacques-David Ebguy - Après la fin de Véronique Samson : la « sur-vie » du roman.
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